Les années 80 commencent sur les chapeaux de roues pour Lavilliers. Après le succès public et critique de l’album 'O Gringo', le chanteur enchaîne avec un nouveau carton populaire dès l’année suivante avec la sortie de 'Nuit d’amour', un album sombre et volontiers joueur.
Même si le reggae affleure encore avec l’incontournable et chaud-bouillant ‘Pigalle la blanche’, l’artiste débute alors un épisode de sa carrière qui sera influencé par les sons électroniques et rock venus des US. On y retrouve l’un de ses chefs-d’œuvre, l’indémodable 'Night Bird' mais également les titres que les connaisseurs retrouvent souvent en concert, récurrents dont l’intensité traverse les générations, 'Betty', 'Chanson Secours' et 'La malédiction du Voyageur', (l’une des plus belles compositions de François Bréant).