De longues élucubrations synthétiques où les batteries mènent au dénouement sauvage d'un voyage trop long à bord du train de 'No couchettes', aux tribulations shoegaze du rockeur perdu dans ses excès dans 'Vacuum' pour terminer par 'Beau Red', conte de la fin des hommes, où des géants finissent de dévorerce que l'humanité aura laissé derrière elle. Cet albul 'Beau Red' vient rappeler l'expérience transcendantale des lives de Meule, à laquelle viennent s'ajouter de nouvelles facettes du groupe qui injectent à leur esthétique une rage assumée et collective.