La chanteuseet auteur-compositeurtunisienne Emel Mathlouthirevient avec une oeuvrepuissante et épique,à la croisée des cultureset des genres.« Un nouvel opus engagé et poétique où les influences arabes fusionnentavec des beats puissants et des mélodies déchirantes. » FiPEmel s'est fait connaître lorsque son morceau 'Kelmti Horra (My Word Is Free)' de 2012est devenu un hymne au cours duPrintemps arabe, lui valant le titre de « voix de la révolution tunisienne », puis une invitation à se produire durant la cérémoniede remise du prix Nobel de la Paix en 2015. Sa musique sincère et puissante défie les genres, mélangeant électronique,textures tunisiennes et univers cinématique. Combinant le politique et le personnel, Emel, portée par sa voix exceptionnellementexpressive et d'une large tessiture, exprime ses sentiments mais aussi ceux de beaucoup de gens. « Il est important pourmoi de donner une voix à ceux que l'on n'entend pas. Et je crois que l'art est son propre message, et que spécialement lorsque l'onvient d'une zone répressive, ou ignorée, l'acte le plus simple de dire "Hey, je suis là" est important - l'art de la présence et de larevendication. »Sur ce second album, 'Ensen', Emel distille sa musique électronique et acoustique en un style qui résolument lui appartient,citant Ben Frost, Samaris et James Blake comme influences artistiques. Avec plusieurs producteurs, dont Valgeir Sigurðsson(Sigur Rós, Feist) et son principal collaborateur le Franco-Tunisien Amine Metani, Emel a enregistré son nouvelalbum dans sept pays et deux continents.