LE DEUXIÈME ALBUM DU TRIO AMÉRICAINUN DISQUE À L’AVANT-GARDE DE LA MUSIQUE FOLK QUI FAIT LE PONT ENTRE TRADITION ET MODERNITÉAu moment où Anaïs Mitchell, Josh Kaufman et Eric D. Johnson se sont réunis pour la première fois en tant que Bonny Light Horseman en 2018, chacunavait déjà unecarrière florissante de son côté. Le groupe offrait alors cette opportunité très rare : apprendre quelque chose de nouveau avec denouveaux amis. Leur premier album éponyme sorJ en 2020 est une masterclass de folk moderne dans lequel le trio réinvente d’anciens standardstransatlantiques avec une grâce facile et un émerveillement sans fin. Ces enregistrements nommés aux Grammy ont marqué l’arrivée d’un trio capablede réorienter plus largement le paysage folk. Rolling Golden Holy repousse l’idée d’un supergroupe éphémère ou d’une diversion ponctuelle avec unebeauté, un charme et une imagination surnaturels. Ces 11 chansons toutes originales, écrites et réalisées par le trio suivent les chemins des airstraditionnels que le groupe chérit, les menant vers de nouvelles frontières musicales et lyriques, et donnent aux sons la gravité et la forme d’aujourd’hui.Rolling Golden Holy confirme que Bonny Light Horseman n’est pas un projet mais un groupe qui travaille à l’avant-garde du folk américain moderne. Le trio pose et, avec chaque morceau, y répond une question essentielle, celle de la frontière entre la musique folk traditionnelle et la musique folk moderne. Ces chansons suggèrent et incarnent un continuum non dit. Si leur premier album comportait de nombreux invités, ici, ils approfondissent leurcollaboration avec JT Bates à la batterie et Mike Lewis à la basse et au saxophone. Voici Bonny Light Horseman dans toute sa splendeur en tant quegroupe à part entière. C’est un réseau de collaborations, créé pour partager, apprendre, prendre des risques, chanter et jouer ensemble. Ce n’est pas unesimple somme de fractions. Rolling Golden Holy est le témoignage du groupe sur l’interdépendance, le partenariat et la confiance à un moment où nousaspirons tant à de telles relations. Mitchell, Kaufman et Johnson apprécient pleinement ce qu’ils ont trouvé l’un chez l’autre, et sur Rolling Golden Holy,l’auditeur vit à travers cette magie.